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Le Nimba Délice
Cuisine africaine - 40 rue d'Aubervilliers, 75019 Paris

PLATS
Le meilleur de la tradition africaine à votre portée
Il s'agit d'une préparation de type been cin. Ben cin signifie littéralement une marmite car le thiep se prépare avec une seule marmite. Niari cin signifie deux marmites cette appellation désigne les plats sénégalais cuisinés avec deux marmites l'un comprenant la sauce et l'autre le riz cuit à la vapeur qui l'accompagne.
Il est fait à base de riz, de poisson, de sauce tomate, et de légumes comme du chou, des carottes, du manioc, etc. On le retrouve aussi dans les pays voisins comme la Mauritanie ou la Gambie (benechin), voire dans le reste de l'Afrique de l'Ouest sous l'appellation de « riz au gras » ou « riz sénégalais ». Les Sénégalais attribuent l'origine de ce plat à la ville de Saint-Louis, au xixe siècle, où l'on prépare une variante nommée thiéboudiène penda mbaye.10,00 €10,00 EUR

Il s'agit d'une préparation de type been cin. Ben cin signifie littéralement une marmite car le thiep se prépare avec une seule marmite. Niari cin signifie deux marmites cette appellation désigne les plats sénégalais cuisinés avec deux marmites l'un comprenant la sauce et l'autre le riz cuit à la vapeur qui l'accompagne.
Il est fait à base de riz, de poulet, de sauce tomate, et de légumes comme du chou, des carottes, du manioc, etc.10,00 €10,00 EUR

Le yassa (d'un mot créole de Casamance signifiant « frire ») est un plat sénégalais à base d'oignons frits et de riz et qui peut être accompagné de viande marinée dans le citron puis frite ou braisée (yassa à la viande, yassa soguoma en bambara), de poulet (yassa au poulet ou poulet yassa) ou de poisson (yassa au poisson).
C'est un plat simple, rapide à faire et souvent apprécié de tous grâce à ses ingrédients de base simples et économiques.
Le yassa, d’abord d’origine diola, a subsisté dans les pays de l’Afrique-Occidentale française, notamment au Sénégal et au Mali.10,00 €10,00 EUR

Le mafé ou tiga dèguè na est une sauce à base de pâte d'arachide originaire du Mali, notamment du peuple mandingue, consommée dans toute une partie de l'Afrique subsaharienne. Au Mali, « Tiga dèguè na » signifie « la sauce de pâte d'arachide ». Dans certains pays comme le Sénégal , la Gambie, la Mauritanie ou le Burkina Faso le mot désigne également le plat en lui-même, un plat à base de viande cuit dans une sauce au beurre de cacahuète et servi avec du riz créole. Il est le plat national du Mali.10,00 €10,00 EUR


BOISSONS
Le meilleur de la tradition africaine à votre portée
L'oseille de Guinée (Hibiscus sabdariffa), également appelée roselle, est une plante herbacée de la famille des Malvacées, originaire d'Afrique.
Le karkadé (parfois orthographié « carcadet ») ou bissap est la boisson préparée à partir du calice des fleurs de cet hibiscus à fleurs rouges.
Un jus rouge est obtenu à partir des calices de fleurs séchés portées à ébullition 5 minutes (une petite poignée de fleurs avec un peu d'eau et du sucre). Ce sirop parfume fortement l'eau bien fraîche dans laquelle on le verse. C'est la boisson nationale de la Guinée, du Mali, du Sénégal, du Burkina Faso et du nord du Bénin où cette plante est cultivée jusqu'aux abords du désert. C'est aussi une boisson très populaire en Égypte et au Soudan sous le nom de karkadé. On peut aussi utiliser les fleurs en infusion en mettant simplement quelques-unes dans de l'eau très chaude. On y ajoute parfois des feuilles de menthe.
En Afrique et au Proche-Orient, il se boit chaud, tandis qu'on préfère le boire froid en Europe.
L’infusion d’hibiscus sabdariffa posséderait des vertus médicinales. Elle pourrait faire baisser la pression artérielle, diminuant ainsi le risque de maladies cardio-vasculaires. On l'utilise pour apaiser l'inflammation des voies respiratoires, les spasmes gastro-intestinaux et lutter contre la fatigue.3,00 €3,00 EUR

Le gnamankoudji, gnamakoudji ou nyamakuji est un jus de gingembre fabriqué dans plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest (notamment le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Mali, la Guinée et le Sénégal). Le mot a une origine bambara/dioula. Il est préparé à partir des rhizomes du gingembre, de sucre, et parfois additionné de citron.3,00 €3,00 EUR

Le Baobab africain (Adansonia digitata) est la plus connue des huit espèces de baobabs. C'est un arbre africain à caudex du genre Adansonia et de la famille des Bombacacées, selon la classification classique, ou des Malvacées, selon la classification phylogénétique.
Sacré pour plusieurs cultures, c'est aussi un arbre à palabres qu'il est malvenu ou sacrilège de couper. C’est l’arbre typique de l’Afrique tropicale sèche et l’emblème du Sénégal et de la Guinée.
La pulpe sèche que contiennent les fruits du baobab est comestible. Son goût acidulé plaît aussi bien aux humains qu'aux singes (d'où son appellation de "pain de singe"). Cette pulpe est très riche en vitamines B1 et C et contient deux fois plus de calcium que le lait.
La pulpe des fruits frais ou séchés mêlée à de l'eau fournit une boisson rafraîchissante appelée bouye ou jus de bouye. Ce "jus" comme disent les Sénégalais est préparé en mettant le fruit du baobab dans de l'eau pendant quelques heures. Le jus obtenu est ensuite mélangé avec un peu de lait et du sucre. Fermentée, cette pulpe permet de fabriquer de la bière.3,00 €3,00 EUR


DESSERTS
Tous nos produits sont préparés sur place
Le dèguè, dègué ou thiakry est un dessert rafraîchissant ouest-africain. C'est un dessert populaire et très apprécié qui est fait à base de couscous de mil et du yaourt. A la place du yaourt, on peut utiliser du lait caillé. Le dègué se consomme en Afrique à toutes les heures de la journée. Il est aussi pris comme en-cas. Il serait très riche en protéine, en vitamines B, en phosphore, magnésium et en zinc.
Pour faire le dèguè, il faut disposer de couscous de mil, de babeurre ou du yaourt ou encore du lait caillé, du sucre vanillé, du beurre, et de sucre raffiné.3,50 €3,50 EUR

Le Palais des Sultans
Cuisine traditionnelle d'Algérie - 38 rue d'Aubervilliers, 75019 Paris

ENTRÉES
Produits exclusivement faits sur place
Le houmous ou hommos (en arabe : حمص / ḥummuṣ ; prononciation levantine : [ˈħɔmmɔsˤ] ; en hébreu : חומוס ; en syriaque : ḥemṣē ṭḥīnē, en arménien : համուս) est une préparation culinaire du Proche-Orient, composée notamment de purée de pois chiches et de tahini (purée de sésame). Il s'agit d'un plat typique de la cuisine arabe, juive, arménienne et levantine.
Les pois chiches cuits, après être réduits en purée très fine, sont mélangés au tahini. La purée onctueuse est assaisonnée à l'aide d'ail écrasé, de sel et de jus de citron.
Le houmous est servi froid avec de l'huile d'olive
Le pois chiche sauvage est endémique au Croissant fertile et sa culture a donc commencé dans cette région. Les plus vieilles preuves archéologiques de la domestication de ce légume sont datées à 9 900 à 9 500 ans avant le présent. Les premières mentions du plat datent du VIIIe siècle av. J.-C. en Mésopotamie. La forme moderne du houmous serait apparue dans l'Empire ottoman durant le XVe siècle.
Le houmous contient des pois chiches qui, comme toutes les légumineuses, apportent des protéines végétales. Le sésame fournit un apport de méthionine, un des huit acides aminés essentiels.
C'est un aliment également riche en fibres, et sa matière grasse est principalement mono-insaturée.4,00 €4,00 EUR

Cette entrée est une revisite par le Palais des Sultans du caviar d'aubergine, met méditerranéen à base d'aubergines entières cuites au four dans leur peau puis réduites en purée, en remplaçant l'aubergine par la betterave.4,00 €4,00 EUR

Carottes cuites avec du cumin, du persil et des épices4,00 €4,00 EUR


La chakchouka (čekčuka en berbère, شكشوكة en arabe), tchektchouka, tchoukchouka, tchouchkaka ou tchoutchouka est une spécialité culinaire maghrébine. Il s'agit d'une sorte de poêlée de poivrons ou de piments verts ou rouges, tomates, oignons et à laquelle s'ajoutent à la fin des œufs. Elle est proche de la frita et du pisto manchego, ou encore de la ojja. La chakchouka peut devenir la base d'autres plats avec des courgettes, des pommes de terre, de la citrouille ou de la viande séchée (kaddid).
Originaire d’Afrique du Nord, la chakchouka est arrivée au Proche-Orient il y a plusieurs siècles dans les bagages des juifs venus de Tunisie, du Maroc, d’Algérie et de Libye.
Cette recette peut s'agrémenter de pommes de terre coupées en fines tranches et frites à l'huile, d'olives noires ou de fèves cuites à la vapeur.
Au Maroc, en Algérie et en Tunisie, la variante la plus courante est une préparation avec oignons et tomates sur laquelle on ajoute à la fin des œufs brouillés ou cuits en surface. En Tunisie encore, elle s'accompagne parfois de merguez, avec ou sans œufs. Elle peut aussi être préparée avec de l'ail à la place des oignons.
Au Maroc, elle est souvent cuisinée avec du poivron vert coupé en petits morceaux. La préparation est relevée avec de l'ail. Elle peut être servie seule en salade cuite, ou chaude servie avec des œufs au plat cuits à la surface.
En Turquie, la variante la plus commune comporte de l’aubergine, du poivron, de l’oignon, de l’ail et de la tomate. L’assaisonnement de la şakşuka comprend le sel, le sucre, le poivre, le paprika et l’huile d’olive. Le plat y est servi avec une garniture de yaourt.
La chakchouka est aussi populaire dans la cuisine israélienne où elle a été introduite par les Juifs algériens et tunisiens. Elle est également appelée tastira chez les Juifs de Sousse.4,00 €4,00 EUR

Deux entrées au choix7,50 €7,50 EUR


PLATS
Produits exclusivement faits sur place
Un tajine ou tagine ou tadjine (طاجين, en arabe ; substantif masculin, issu du berbère ⵟⴰⵊⵉⵏ (ṭajin), et du grec ancien, τήγανον / têganon, « poêle », « plat », « écuelle », « terrine », « tian ») désigne tout autant un plat de cuisson et de service, large et peu profond surmonté d'un couvercle conique en terre cuite parfois vernissé qu'une préparation culinaire cuite dans cet ustensile. Trouvant son origine dans la cuisine berbère, mais également très répandu dans la cuisine traditionnelle du Maghreb, c'est une sorte de ragoût cuit à l'étouffée qui peut être composé d'un mélange de viande, de volaille ou de poisson, de légumes ou de fruits et d'épices et d'huile d'olive. La préparation du tajine, les ingrédients et les épices utilisés diffèrent selon les régions d'Afrique du Nord. Le récipient de cuisine en deux-pièces unique en argile rouge appelé tajine, dont le couvercle est conique, est originaire de la ville de Tafraout dans l'Anti-Atlas marocain, il est de nos jours, omniprésent dans tout le pays ainsi qu'en Algérie.
Les aliments, mijotés à feu doux, cuisent à l'étouffée et à la vapeur, à l'huile d'olive, ou éventuellement sans matière grasse. La cuisson se fait traditionnellement sur un simple réchaud ou brasero (kanoun, idéal pour les lieux isolés), en terre cuite, composé d'une coupe percée d'évents sur le pourtour, destinée à recevoir le bois pour faire les braises. La cuisson se fait également, et très couramment, sur le gaz ou sur une plaque électrique, avec parfois un diffuseur.
Le tajine est, par tradition, un plat familial et convivial. L'assemblée se dispose, assise sur de petits bancs, autour du plat, posé sur une table basse. Le couvercle est enlevé et chacun pioche directement dans le plat avec trois doigts : l'index et le majeur retiennent un morceau d'une galette de pain mise à disposition pour chacun des convives, le pouce ramène l'aliment sur le pain avant de porter le tout à la bouche. Les doigts ne doivent pas toucher le reste du plat. Si un hôte de marque est présent, le maître de maison tournera traditionnellement le plat de façon ostensible, afin de lui présenter les meilleurs morceaux.13,50 €13,50 EUR

Un tajine ou tagine ou tadjine (طاجين, en arabe ; substantif masculin, issu du berbère ⵟⴰⵊⵉⵏ (ṭajin), et du grec ancien, τήγανον / têganon, « poêle », « plat », « écuelle », « terrine », « tian ») désigne tout autant un plat de cuisson et de service, large et peu profond surmonté d'un couvercle conique en terre cuite parfois vernissé qu'une préparation culinaire cuite dans cet ustensile. Trouvant son origine dans la cuisine berbère, mais également très répandu dans la cuisine traditionnelle du Maghreb, c'est une sorte de ragoût cuit à l'étouffée qui peut être composé d'un mélange de viande, de volaille ou de poisson, de légumes ou de fruits et d'épices et d'huile d'olive. La préparation du tajine, les ingrédients et les épices utilisés diffèrent selon les régions d'Afrique du Nord. Le récipient de cuisine en deux-pièces unique en argile rouge appelé tajine, dont le couvercle est conique, est originaire de la ville de Tafraout dans l'Anti-Atlas marocain, il est de nos jours, omniprésent dans tout le pays ainsi qu'en Algérie.
Les aliments, mijotés à feu doux, cuisent à l'étouffée et à la vapeur, à l'huile d'olive, ou éventuellement sans matière grasse. La cuisson se fait traditionnellement sur un simple réchaud ou brasero (kanoun, idéal pour les lieux isolés), en terre cuite, composé d'une coupe percée d'évents sur le pourtour, destinée à recevoir le bois pour faire les braises. La cuisson se fait également, et très couramment, sur le gaz ou sur une plaque électrique, avec parfois un diffuseur.
Le tajine est, par tradition, un plat familial et convivial. L'assemblée se dispose, assise sur de petits bancs, autour du plat, posé sur une table basse. Le couvercle est enlevé et chacun pioche directement dans le plat avec trois doigts : l'index et le majeur retiennent un morceau d'une galette de pain mise à disposition pour chacun des convives, le pouce ramène l'aliment sur le pain avant de porter le tout à la bouche. Les doigts ne doivent pas toucher le reste du plat. Si un hôte de marque est présent, le maître de maison tournera traditionnellement le plat de façon ostensible, afin de lui présenter les meilleurs morceaux.16,00 €16,00 EUR

Un tajine ou tagine ou tadjine (طاجين, en arabe ; substantif masculin, issu du berbère ⵟⴰⵊⵉⵏ (ṭajin), et du grec ancien, τήγανον / têganon, « poêle », « plat », « écuelle », « terrine », « tian ») désigne tout autant un plat de cuisson et de service, large et peu profond surmonté d'un couvercle conique en terre cuite parfois vernissé qu'une préparation culinaire cuite dans cet ustensile. Trouvant son origine dans la cuisine berbère, mais également très répandu dans la cuisine traditionnelle du Maghreb, c'est une sorte de ragoût cuit à l'étouffée qui peut être composé d'un mélange de viande, de volaille ou de poisson, de légumes ou de fruits et d'épices et d'huile d'olive. La préparation du tajine, les ingrédients et les épices utilisés diffèrent selon les régions d'Afrique du Nord. Le récipient de cuisine en deux-pièces unique en argile rouge appelé tajine, dont le couvercle est conique, est originaire de la ville de Tafraout dans l'Anti-Atlas marocain, il est de nos jours, omniprésent dans tout le pays ainsi qu'en Algérie.
Les aliments, mijotés à feu doux, cuisent à l'étouffée et à la vapeur, à l'huile d'olive, ou éventuellement sans matière grasse. La cuisson se fait traditionnellement sur un simple réchaud ou brasero (kanoun, idéal pour les lieux isolés), en terre cuite, composé d'une coupe percée d'évents sur le pourtour, destinée à recevoir le bois pour faire les braises. La cuisson se fait également, et très couramment, sur le gaz ou sur une plaque électrique, avec parfois un diffuseur.
Le tajine est, par tradition, un plat familial et convivial. L'assemblée se dispose, assise sur de petits bancs, autour du plat, posé sur une table basse. Le couvercle est enlevé et chacun pioche directement dans le plat avec trois doigts : l'index et le majeur retiennent un morceau d'une galette de pain mise à disposition pour chacun des convives, le pouce ramène l'aliment sur le pain avant de porter le tout à la bouche. Les doigts ne doivent pas toucher le reste du plat. Si un hôte de marque est présent, le maître de maison tournera traditionnellement le plat de façon ostensible, afin de lui présenter les meilleurs morceaux.14,00 €14,00 EUR

Le brik (ou brick), appelé aussi bourek1, est une sorte de chausson originaire du Maghreb2, préparé à partir d'une feuille de pâte très fine portant le même nom, à base de farine et de semoule de blé, façonnée généralement en un triangle fourré et frit. Le brik à l'œuf est la variété la plus commune.
La pâte de brik est composée d'un mélange, moitié farine, moitié semoule fine de blé, d'eau tiède et de sel. Le tout est malaxé jusqu'à obtenir une pâte presque liquide (moins liquide qu'une pâte à crêpe) laissée au repos deux à trois heures. La pâte est à nouveau malaxée et appliquée au pinceau sur une plaque ou une poêle chaude. Cette pâte peut se conserver trois à quatre jours au réfrigérateur et se congèle bien.
Différente de la feuille de phyllo, la feuille de brik peut être farcie de toutes les manières possibles en mets salés ou sucrés dont les briks au thon, à la crème, à l'œuf, à la viande hachée, au poulet, aux câpres, avec de la harissa ou du fromage. Les samoussas indiens, les pastillas ainsi que les briouates marocains sont également enrobés de feuilles de brik.
La chorba (arabe : شربة, turc : çorba, persan : شوربا, amharique : ሾርባ), chorwa (pachto : شوروا), churpa (russe : шурпа), chorpa (ouïghour : شورپا), chorpo (kirghize : шорпо) et sorpa (kazakh : сорпа) est une soupe traditionnelle d'Afrique du Nord, des Balkans, de l'Europe de l'Est, de l'Asie centrale, du Moyen-Orient et de l'Asie du Sud.
Sur le continent africain la chorba est principalement consommée en Afrique du Nord : Algérie, Libye, Tunisie et Maroc.
Pendant le ramadan, la chorba est servie quotidiennement après la prière et offerte traditionnellement aux pauvres. Elle est très appréciée pour démarrer le repas après une journée sans boire ni manger car elle étanche la soif et prépare en douceur l'estomac pour recevoir de la nourriture. De nos jours, on la trouve même dans les restaurants gastronomiques.
Elle est généralement préparée à base de viande ovine (mouton ou agneau), de vermicelles ou de frik (blé concassé) et de légumes (variables selon les régions : tomates, courgettes, carottes, etc.).
La chorba tunisienne peut également être préparée avec de la viande de veau ou de poulet (moins grasses que le mouton) ou avec des pattes de bœuf ou encore à base de poisson ou de poulpe. Elle est souvent plus piquante que celle que l'on trouve en Algérie.
La chorba algérienne la plus répandue est préparée à base de frik alors que d'autres types de chorba existent, telles que la chorba fdaouech avec des vermicelles. Dans la région algéroise, la chorba était couramment nommée el m'katfa du nom des vermicelles (thimkatafth en berbère) préparés artisanalement.
Leur point commun est qu'elles sont épicées et parfumées avec de la coriandre et de la menthe. La chorba bida (blanche) est également une spécialité algérienne consommée pendant le ramadan et appréciée pour sa légèreté.14,00 €14,00 EUR

La chorba (arabe : شربة, turc : çorba, persan : شوربا, amharique : ሾርባ), chorwa (pachto : شوروا), churpa (russe : шурпа), chorpa (ouïghour : شورپا), chorpo (kirghize : шорпо) et sorpa (kazakh : сорпа) est une soupe traditionnelle d'Afrique du Nord, des Balkans, de l'Europe de l'Est, de l'Asie centrale, du Moyen-Orient et de l'Asie du Sud.
Sur le continent africain la chorba est principalement consommée en Afrique du Nord : Algérie, Libye, Tunisie et Maroc.
Pendant le ramadan, la chorba est servie quotidiennement après la prière et offerte traditionnellement aux pauvres. Elle est très appréciée pour démarrer le repas après une journée sans boire ni manger car elle étanche la soif et prépare en douceur l'estomac pour recevoir de la nourriture. De nos jours, on la trouve même dans les restaurants gastronomiques.
Elle est généralement préparée à base de viande ovine (mouton ou agneau), de vermicelles ou de frik (blé concassé) et de légumes (variables selon les régions : tomates, courgettes, carottes, etc.).
La chorba tunisienne peut également être préparée avec de la viande de veau ou de poulet (moins grasses que le mouton) ou avec des pattes de bœuf ou encore à base de poisson ou de poulpe. Elle est souvent plus piquante que celle que l'on trouve en Algérie.
La chorba algérienne la plus répandue est préparée à base de frik alors que d'autres types de chorba existent, telles que la chorba fdaouech avec des vermicelles. Dans la région algéroise, la chorba était couramment nommée el m'katfa du nom des vermicelles (thimkatafth en berbère) préparés artisanalement.
Leur point commun est qu'elles sont épicées et parfumées avec de la coriandre et de la menthe. La chorba bida (blanche) est également une spécialité algérienne consommée pendant le ramadan et appréciée pour sa légèreté.10,00 €10,00 EUR

Le brik (ou brick), appelé aussi bourek1, est une sorte de chausson originaire du Maghreb2, préparé à partir d'une feuille de pâte très fine portant le même nom, à base de farine et de semoule de blé, façonnée généralement en un triangle fourré et frit. Le brik à l'œuf est la variété la plus commune.
La pâte de brik est composée d'un mélange, moitié farine, moitié semoule fine de blé, d'eau tiède et de sel. Le tout est malaxé jusqu'à obtenir une pâte presque liquide (moins liquide qu'une pâte à crêpe) laissée au repos deux à trois heures. La pâte est à nouveau malaxée et appliquée au pinceau sur une plaque ou une poêle chaude. Cette pâte peut se conserver trois à quatre jours au réfrigérateur et se congèle bien.
Différente de la feuille de phyllo, la feuille de brik peut être farcie de toutes les manières possibles en mets salés ou sucrés dont les briks au thon, à la crème, à l'œuf, à la viande hachée, au poulet, aux câpres, avec de la harissa ou du fromage. Les samoussas indiens, les pastillas ainsi que les briouates marocains sont également enrobés de feuilles de brik.5,50 €5,50 EUR

Le brik (ou brick), appelé aussi bourek1, est une sorte de chausson originaire du Maghreb2, préparé à partir d'une feuille de pâte très fine portant le même nom, à base de farine et de semoule de blé, façonnée généralement en un triangle fourré et frit. Le brik à l'œuf est la variété la plus commune.
La pâte de brik est composée d'un mélange, moitié farine, moitié semoule fine de blé, d'eau tiède et de sel. Le tout est malaxé jusqu'à obtenir une pâte presque liquide (moins liquide qu'une pâte à crêpe) laissée au repos deux à trois heures. La pâte est à nouveau malaxée et appliquée au pinceau sur une plaque ou une poêle chaude. Cette pâte peut se conserver trois à quatre jours au réfrigérateur et se congèle bien.
Différente de la feuille de phyllo, la feuille de brik peut être farcie de toutes les manières possibles en mets salés ou sucrés dont les briks au thon, à la crème, à l'œuf, à la viande hachée, au poulet, aux câpres, avec de la harissa ou du fromage. Les samoussas indiens, les pastillas ainsi que les briouates marocains sont également enrobés de feuilles de brik.5,50 €5,50 EUR

Le brik (ou brick), appelé aussi bourek1, est une sorte de chausson originaire du Maghreb2, préparé à partir d'une feuille de pâte très fine portant le même nom, à base de farine et de semoule de blé, façonnée généralement en un triangle fourré et frit. Le brik à l'œuf est la variété la plus commune.
La pâte de brik est composée d'un mélange, moitié farine, moitié semoule fine de blé, d'eau tiède et de sel. Le tout est malaxé jusqu'à obtenir une pâte presque liquide (moins liquide qu'une pâte à crêpe) laissée au repos deux à trois heures. La pâte est à nouveau malaxée et appliquée au pinceau sur une plaque ou une poêle chaude. Cette pâte peut se conserver trois à quatre jours au réfrigérateur et se congèle bien.
Différente de la feuille de phyllo, la feuille de brik peut être farcie de toutes les manières possibles en mets salés ou sucrés dont les briks au thon, à la crème, à l'œuf, à la viande hachée, au poulet, aux câpres, avec de la harissa ou du fromage. Les samoussas indiens, les pastillas ainsi que les briouates marocains sont également enrobés de feuilles de brik.5,50 €5,50 EUR

Le brik (ou brick), appelé aussi bourek1, est une sorte de chausson originaire du Maghreb2, préparé à partir d'une feuille de pâte très fine portant le même nom, à base de farine et de semoule de blé, façonnée généralement en un triangle fourré et frit. Le brik à l'œuf est la variété la plus commune.
La pâte de brik est composée d'un mélange, moitié farine, moitié semoule fine de blé, d'eau tiède et de sel. Le tout est malaxé jusqu'à obtenir une pâte presque liquide (moins liquide qu'une pâte à crêpe) laissée au repos deux à trois heures. La pâte est à nouveau malaxée et appliquée au pinceau sur une plaque ou une poêle chaude. Cette pâte peut se conserver trois à quatre jours au réfrigérateur et se congèle bien.
Différente de la feuille de phyllo, la feuille de brik peut être farcie de toutes les manières possibles en mets salés ou sucrés dont les briks au thon, à la crème, à l'œuf, à la viande hachée, au poulet, aux câpres, avec de la harissa ou du fromage. Les samoussas indiens, les pastillas ainsi que les briouates marocains sont également enrobés de feuilles de brik.5,50 €5,50 EUR

Le brik (ou brick), appelé aussi bourek1, est une sorte de chausson originaire du Maghreb2, préparé à partir d'une feuille de pâte très fine portant le même nom, à base de farine et de semoule de blé, façonnée généralement en un triangle fourré et frit. Le brik à l'œuf est la variété la plus commune.
La pâte de brik est composée d'un mélange, moitié farine, moitié semoule fine de blé, d'eau tiède et de sel. Le tout est malaxé jusqu'à obtenir une pâte presque liquide (moins liquide qu'une pâte à crêpe) laissée au repos deux à trois heures. La pâte est à nouveau malaxée et appliquée au pinceau sur une plaque ou une poêle chaude. Cette pâte peut se conserver trois à quatre jours au réfrigérateur et se congèle bien.
Différente de la feuille de phyllo, la feuille de brik peut être farcie de toutes les manières possibles en mets salés ou sucrés dont les briks au thon, à la crème, à l'œuf, à la viande hachée, au poulet, aux câpres, avec de la harissa ou du fromage. Les samoussas indiens, les pastillas ainsi que les briouates marocains sont également enrobés de feuilles de brik.5,50 €5,50 EUR

Le couscous (en berbère : ⵙⴽⵙⵓ seksu ou ⴽⵙⴽⵙⵓ keskesu, en arabe maghrébin : الطعام، كسكسي، كسكس، سكسو, seksu, kuskus, kusksi, kesksu, t’am) est d'une part une semoule de blé dur préparée à l'huile d'olive (un des aliments de base traditionnel de la cuisine des pays du Maghreb) et d'autre part, une spécialité culinaire issue de la cuisine berbère, à base de couscous, de légumes, d'épices, d'huile d'olive et de viande (rouge ou de volaille) ou de poisson.
Il est, avec le tajine, l'un des plats emblématiques de la cuisine traditionnelle d'Algérie cuisiné selon de multiples déclinaisons régionales et culturelles locales. Les plus anciennes traces connues de couscoussiers sont retrouvées dans des sépultures du IIIe siècle av. J.-C., de l'époque du roi berbère Massinissa de Numidie (dans l'actuel nord de l'Algérie), un des berceaux de la culture du blé. Connu en France depuis le XVIe siècle, il est intégré dans la cuisine française au début du xxe siècle, via l'Empire colonial français et les pieds-noirs d'Algérie.
Les savoirs, savoir-faire et pratiques liés à la production et à la consommation du couscous sont inscrits sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Le couscous est servi le plus souvent avec un ragoût de légumes accompagné de viande, présenté parfois dans un plat en terre cuite traditionnel à tajine. Le plat de base consiste en l'association du couscous (céréale) et d'un apport protéinique, viande, poisson ou pois chiches (légumineuse jouant le rôle de l'apport protéinique). Il peut aussi être consommé seul, aromatisé ou nature, chaud ou froid, comme dessert avec du sucre ou plat d'accompagnement.13,50 €13,50 EUR

Le couscous (en berbère : ⵙⴽⵙⵓ seksu ou ⴽⵙⴽⵙⵓ keskesu, en arabe maghrébin : الطعام، كسكسي، كسكس، سكسو, seksu, kuskus, kusksi, kesksu, t’am) est d'une part une semoule de blé dur préparée à l'huile d'olive (un des aliments de base traditionnel de la cuisine des pays du Maghreb) et d'autre part, une spécialité culinaire issue de la cuisine berbère, à base de couscous, de légumes, d'épices, d'huile d'olive et de viande (rouge ou de volaille) ou de poisson.
Il est, avec le tajine, l'un des plats emblématiques de la cuisine traditionnelle d'Algérie cuisiné selon de multiples déclinaisons régionales et culturelles locales. Les plus anciennes traces connues de couscoussiers sont retrouvées dans des sépultures du IIIe siècle av. J.-C., de l'époque du roi berbère Massinissa de Numidie (dans l'actuel nord de l'Algérie), un des berceaux de la culture du blé. Connu en France depuis le XVIe siècle, il est intégré dans la cuisine française au début du xxe siècle, via l'Empire colonial français et les pieds-noirs d'Algérie.
Les savoirs, savoir-faire et pratiques liés à la production et à la consommation du couscous sont inscrits sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Le couscous est servi le plus souvent avec un ragoût de légumes accompagné de viande, présenté parfois dans un plat en terre cuite traditionnel à tajine. Le plat de base consiste en l'association du couscous (céréale) et d'un apport protéinique, viande, poisson ou pois chiches (légumineuse jouant le rôle de l'apport protéinique). Il peut aussi être consommé seul, aromatisé ou nature, chaud ou froid, comme dessert avec du sucre ou plat d'accompagnement.16,00 €16,00 EUR

Le couscous (en berbère : ⵙⴽⵙⵓ seksu ou ⴽⵙⴽⵙⵓ keskesu, en arabe maghrébin : الطعام، كسكسي، كسكس، سكسو, seksu, kuskus, kusksi, kesksu, t’am) est d'une part une semoule de blé dur préparée à l'huile d'olive (un des aliments de base traditionnel de la cuisine des pays du Maghreb) et d'autre part, une spécialité culinaire issue de la cuisine berbère, à base de couscous, de légumes, d'épices, d'huile d'olive et de viande (rouge ou de volaille) ou de poisson.
Il est, avec le tajine, l'un des plats emblématiques de la cuisine traditionnelle d'Algérie cuisiné selon de multiples déclinaisons régionales et culturelles locales. Les plus anciennes traces connues de couscoussiers sont retrouvées dans des sépultures du IIIe siècle av. J.-C., de l'époque du roi berbère Massinissa de Numidie (dans l'actuel nord de l'Algérie), un des berceaux de la culture du blé. Connu en France depuis le XVIe siècle, il est intégré dans la cuisine française au début du xxe siècle, via l'Empire colonial français et les pieds-noirs d'Algérie.
Les savoirs, savoir-faire et pratiques liés à la production et à la consommation du couscous sont inscrits sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Le couscous est servi le plus souvent avec un ragoût de légumes accompagné de viande, présenté parfois dans un plat en terre cuite traditionnel à tajine. Le plat de base consiste en l'association du couscous (céréale) et d'un apport protéinique, viande, poisson ou pois chiches (légumineuse jouant le rôle de l'apport protéinique). Il peut aussi être consommé seul, aromatisé ou nature, chaud ou froid, comme dessert avec du sucre ou plat d'accompagnement.16,00 €16,00 EUR

Le couscous (en berbère : ⵙⴽⵙⵓ seksu ou ⴽⵙⴽⵙⵓ keskesu, en arabe maghrébin : الطعام، كسكسي، كسكس، سكسو, seksu, kuskus, kusksi, kesksu, t’am) est d'une part une semoule de blé dur préparée à l'huile d'olive (un des aliments de base traditionnel de la cuisine des pays du Maghreb) et d'autre part, une spécialité culinaire issue de la cuisine berbère, à base de couscous, de légumes, d'épices, d'huile d'olive et de viande (rouge ou de volaille) ou de poisson.
Il est, avec le tajine, l'un des plats emblématiques de la cuisine traditionnelle d'Algérie cuisiné selon de multiples déclinaisons régionales et culturelles locales. Les plus anciennes traces connues de couscoussiers sont retrouvées dans des sépultures du IIIe siècle av. J.-C., de l'époque du roi berbère Massinissa de Numidie (dans l'actuel nord de l'Algérie), un des berceaux de la culture du blé. Connu en France depuis le XVIe siècle, il est intégré dans la cuisine française au début du xxe siècle, via l'Empire colonial français et les pieds-noirs d'Algérie.
Les savoirs, savoir-faire et pratiques liés à la production et à la consommation du couscous sont inscrits sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Le couscous est servi le plus souvent avec un ragoût de légumes accompagné de viande, présenté parfois dans un plat en terre cuite traditionnel à tajine. Le plat de base consiste en l'association du couscous (céréale) et d'un apport protéinique, viande, poisson ou pois chiches (légumineuse jouant le rôle de l'apport protéinique). Il peut aussi être consommé seul, aromatisé ou nature, chaud ou froid, comme dessert avec du sucre ou plat d'accompagnement.16,00 €16,00 EUR

Le couscous (en berbère : ⵙⴽⵙⵓ seksu ou ⴽⵙⴽⵙⵓ keskesu, en arabe maghrébin : الطعام، كسكسي، كسكس، سكسو, seksu, kuskus, kusksi, kesksu, t’am) est d'une part une semoule de blé dur préparée à l'huile d'olive (un des aliments de base traditionnel de la cuisine des pays du Maghreb) et d'autre part, une spécialité culinaire issue de la cuisine berbère, à base de couscous, de légumes, d'épices, d'huile d'olive et de viande (rouge ou de volaille) ou de poisson.
Il est, avec le tajine, l'un des plats emblématiques de la cuisine traditionnelle d'Algérie cuisiné selon de multiples déclinaisons régionales et culturelles locales. Les plus anciennes traces connues de couscoussiers sont retrouvées dans des sépultures du IIIe siècle av. J.-C., de l'époque du roi berbère Massinissa de Numidie (dans l'actuel nord de l'Algérie), un des berceaux de la culture du blé. Connu en France depuis le XVIe siècle, il est intégré dans la cuisine française au début du xxe siècle, via l'Empire colonial français et les pieds-noirs d'Algérie.
Les savoirs, savoir-faire et pratiques liés à la production et à la consommation du couscous sont inscrits sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Le couscous est servi le plus souvent avec un ragoût de légumes accompagné de viande, présenté parfois dans un plat en terre cuite traditionnel à tajine. Le plat de base consiste en l'association du couscous (céréale) et d'un apport protéinique, viande, poisson ou pois chiches (légumineuse jouant le rôle de l'apport protéinique). Il peut aussi être consommé seul, aromatisé ou nature, chaud ou froid, comme dessert avec du sucre ou plat d'accompagnement.18,00 €18,00 EUR


DESSERTS
Produits exclusivement faits sur place
Le baklava, baclava, baclawa ou baklawa pour la variante maghrébine, est un dessert traditionnel commun aux peuples des anciens empires ottoman et perse. On le retrouve dans les Balkans, dans le Caucase, au Maghreb et au Moyen-Orient.
Les origines du baklava sont peu documentées. Il existe trois hypothèses qui en font remonter les origines à la période pré-ottomane : l'une est en lien avec la tradition des pains feuilletés des peuples turcs d’Asie centrale ; la deuxième en lien avec le gâteau romain placenta et ses évolutions dans la cuisine byzantine ; la troisième en lien avec la cuisine perse et le lauzinaq.
Son existence sous sa forme actuelle est attestée sous l'Empire ottoman, dans les cuisines impériales du palais de Topkapı, à Istanbul1 où le sultan offrait des parts de baklava aux janissaires chaque quinzième jour du mois de ramadan, lors d'une cérémonie baptisée Baklava Alayı.
Si le nom est sensiblement similaire, les recettes et la composition varient selon l'origine géographique, ce qui fait que chaque pays ou région détient son propre baklava. Ainsi, il est à base de pistaches ou noisettes en Turquie et au Moyen-Orient, à base d'amandes et de miel au Maghreb et à base de noix dans les pays des Balkans.
Il semble que c'est durant l'époque byzantine que son commerce et sa recette se répandent. Les couches de pâte qui le forment sont traditionnellement au nombre de trente-trois, en référence aux années de vie du Christ. Le berceau du baklava se situe à Gaziantep. Le 8 août 2013, l'Union européenne accorde une indication géographique protégée pour la variété turque Antep Baklavası, aussi connue sous le nom de Gaziantep Baklavası.
En Roumanie, le baklava est introduit au XVIIIe siècle, en même temps que la bière de mil, le nougat et le rahat, par les marchands phanariotes. Le baklava se prépare en Roumanie pour les fêtes du jour de l'an et de l'été.
Il en existe de nombreuses variantes, en fonction des terroirs et des régions. C'est un mets assez sucré et constitué de pâte phyllo, de sirop de sucre (remplacé par du miel en Grèce, en Tunisie, en Algérie et au Maroc) et, selon les recettes et les régions, de pistaches, de noix ou de noisettes.
Le baklava est un dessert long à réaliser car constitué de fines feuilles de pâte yufka ou phyllo, beurrées ou huilées une à une, superposées dans un plat rond ou carré, ou enroulées sur elles-mêmes.
Un mélange de fruits secs finement moulus et concassés est déposé entre les feuilles, lesquelles sont ensuite cuites puis trempées dans de l'eau sucrée (avec du jus de citron pour éviter de caraméliser), du miel ou encore de l'eau de fleur d'oranger ou de rose. On y ajoute quelquefois des clous de girofle moulus32.
Le baklawa algérien se prononce « baklawa » ; c'est un feuilleté à base d'amandes et de sirop de miel. Ce gâteau aurait été inspiré du baklava turc durant la régence ottomane et serait présent depuis plus de 300 ans. Il se distingue par sa composition et son feuilletage atypique.2,00 €2,00 EUR

Le makroud ou makrout, également orthographié maqroudh ou maqrouth (en arabe : المقروض et المقروط ; en berbère : ⵎⴰⵇⵕⵓⴹ et ⵎⴰⵇⵕⵓⵟ), est une pâtisserie maghrébine, à base de semoule de blé et de pâte de dattes, reconnaissable à sa forme en losange. C'est une pâtisserie très populaire au Maghreb (Algérie1, Maroc, Libye et Tunisie) et également à Malte.
Plusieurs hypothèses sont avancées sur l’origine de cette pâtisserie maghrébine. L'une d'entre elles lui donne pour origine la ville de Kairouan dans l'actuelle Tunisie. Une autre hypothése lui donne pour origine les oasis du M'zab et les steppes sétifiens en Algérie. Le makroud fut introduit ensuite à Malte par la dynastie arabe des Aghlabides, et dans la ville de Fès au Maroc par les kairouanais au IXe siècle, puis plus tard dans les villes d’Oujda et de Tétouan par les refugiés algériens ayant émmigré au Maroc.
Les pays dans lesquels le makroud est consommé en masse sont l'Algérie et la Tunisie. Composante d'une tradition culinaire, le makroud est également devenu courant dans les pays où vit une importante population d'origine algérienne ou tunisienne, notamment en France.
Le makroud est préparé en superposant une couche de pâte à base de semoule de blé dur et une couche de pâte de dattes, parfois des deglet nour, ou quelquefois de figues ou d'amandes. Le tout est ensuite roulé, puis découpé sous forme de losanges ou de triangles avant la cuisson, et le plus souvent frit dans une huile végétale. Le makroud est ensuite trempé dans un sirop à base de miel et d'eau de fleurs d'oranger. Il est consommé froid.
Le makrout ou makroud algérien est frit ou cuit au four, comme à l'est du pays. Cette pâtisserie tient ses origines du Sud-Est algérien ; néanmoins, tout le pays la consomme et on lui trouve différentes caractéristiques selon les régions. Semoule et dattes imbibées de sirop dans le Sahara algérien, à la cannelle et à l'anis vert à Oran, à l'amande et au sucre glace à Alger. L'Algérie détient la plus grande variété de makrouds dans le Maghreb.2,00 €2,00 EUR

Les cornes de gazelles (de l'arabe gharn eghzel, قرن الغزال1), ou tcharek ou tcharak2 (de l'arabe algérien تشاراك qui signifie « croissant »), sont des pâtisseries d'Algérie en forme de croissants à base d'amandes. Cette pâtisserie trouve son origine dans les remparts de la ville d'Alger. Son nom vient du turc çeyrek signifiant un quart c'est la contraction de çeyrek ay, « quart de lune (croissant) ».2,00 €2,00 EUR

3,50 €3,50 EUR

3,50 €3,50 EUR

3,50 €3,50 EUR


BOISSONS
Le thé à la menthe (en arabe standard moderne شاي بالنعناع (chāï binna‘nā‘) ou, plus communément, en arabe maghrébin أتاي (atāy), لأتاي (latāy) et en berbère ⴰⵜⴰⵢ, atay) est une boisson chaude réalisée à partir de feuilles de thé et de feuilles de menthe, originaire du Maroc. La consommation du thé s'est étendue par la suite dans le reste du Maghreb, mais également en Afrique subsaharienne et en Afrique de l'Ouest du fait de la colonisation et des flux de population. On prête à ce breuvage un grand nombre de vertus, notamment toniques et digestives.
Depuis l’Antiquité, la menthe a été utilisée dans tout le pourtour méditerranéen comme infusion, décoction ou en phytothérapie. Cette herbe aromatique a été fortement consommée en Algérie comme traitement et prévention contre le choléra1 qui avait touché le pays de 1835 à 18652.
La boisson est faite à partir de thé vert et d'une botte de menthe verte fraîche, avec quelques morceaux de sucre en lingots. La théière est tout d'abord ébouillantée. On y ajoute ensuite le thé que l'on « nettoie » en y mettant une petite quantité d'eau bouillante que l'on jette après l'avoir laissé une minute dans la théière. Après y avoir mis le sucre et la menthe, on remplit la théière d'eau bouillante et on laisse infuser deux à trois minutes. On remplit alors deux à trois fois un verre que l'on reverse aussitôt dans la théière, de façon à oxygéner l'eau et donner plus de goût à l'infusion. Il s'agit ensuite, en goûtant périodiquement le thé dans un verre, de déterminer le moment où l'infusion est parfaitement réalisée. On rajoute éventuellement du sucre et de la menthe, si le thé en manque.
Une fois la préparation terminée, on soulève la théière par l'anse, tout en levant le bras vers le haut et on verse lentement la boisson chaude dans un verre vide. Ce mouvement précis du bras a pour but d'oxygéner et d'accroître le goût du thé. Une fois le verre rempli, une épaisse mousse se forme au-dessus de la boisson, c'est un signe qui confirme la réussite de l'infusion.
La recette varie selon les goûts : on peut y ajoute quelques pignons de pin, de la sauge, de la verveine, du miel, de la cannelle, du galanga. En hiver, quand la menthe se fait rare, il arrive qu'on la remplace par des feuilles d'absinthe (chiba ou ch'hiba en dialecte maghrébin). Ces derniers donnent au thé une amertume très prononcée. En Tunisie, on rajoute une feuille de menthe dans le verre thé.
Traditionnellement, le thé est servi trois fois par jour. La particularité de son service est due au fait que l'on conserve les feuilles de thé et de menthe verte dans la théière, qui continuent à infuser. Au fur et à mesure des services, la boisson obtenue change de saveur et d'aspect (léger au premier, équilibré au second, très astringent et amer au dernier)4.
« Le premier verre est aussi doux que la vie. Le deuxième est aussi fort que l'amour. Le troisième est aussi amer que la mort. »
— Proverbe touareg à propos du thé.2,00 €2,00 EUR

Du mardi au samedi de 12h à 18h
Du lundi au samedi de 12h à 18h
Disponibilité des commandes
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